• Ce n'est pas vraiment une nouveautés, mais ce CD est resté longtemps à prendre la poussière avant que je ne prenne le temps d'un après-midi pluvieux pour l'écouter.
    Bref, les "Dirty Pretty Things", le nouveau groupe de l'ex-co-fondateur des Libertines -Carl Barât-, ont sorti depuis quelque smois leur premier album intitulé "Waterlo To Anywhere". Titre déjà lour de sens, puisqu'il fait référence à la difficile séparation des "Libertines" pour deux des Dirty -Carl Barât et Gary Powell-.
    Dans cet album, on ressent plus l'âme des "Libertines" qu'avec les "Babyshambles". Preuve une nouvelle fois que les Libertines reposaient bien plus sur leur guitariste -Carl Barât- que sur leur cocaïnomane de chanteur -Pete Dogherty-.
    Sans renier le talent de Pete, l'influence de Carl est bien plus palpable.
    Commançant par un "Deadwood" très punk aux parfums "Libertines + Franz Ferdinand", on arrive très vite sur "Doctors And Dealers" et "Bang Bang You're Dead" pépite de l'album. "Blood Thirsty Bastarad" qui ressemble à s'y méprendre à "Good Old Days" des Libertines.
    S'en suit le très punk reggae le "The Gentry Cove", "Gin And Milk" au refrain très punk et frappant. "The Ennemy" est le titre rock de l'album aux mélodies touchantes. "If You Love A Woman" ou le tribut à Lou Reed presque inévitable. "You Fuckin Love It", morceau le plus agressif de l'album, Carl Barât tente de faire oublier l'idée que les "Dirty Pretty Things" ne sont pas que son "back-band". L'albu mse termine sur trois titres éloignés des influences punk "Wondering", "Last Of The Town Playboys" à la guitare tortueuse et "B.U.R.M.A" ballade rock n' pop.
    Presque tout au long de cet album, on ne peut s'empêcher de se souvenir des Libertines et de tout ce qu'ils apportèrent au rock britannique. C'est d'ailleurs dans cette ambiance de rancoeur, de regrets mais aussi de haine que Carl Barât voulait nous emmener à travers ce deuxième album.

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  • Ce sont les "Arcade Fire" qui créé les plus grosse sensation de cette fin de semaine en lançant en avant première leur single "No Cars Go" extrait de leur tout prochain album "Intervention" prévu le 6 mars prochain.
    Dans ce titre, le septète canadien reste fidèle à son premier album "Funeral", texte engagé, paroles sombres, mélancolies plus que palpable. Tous les ingrédients de ce qui a fait la réputation de ce groupe à part se trouve ici réunit.
    En marge de la sortie de leur nouvel album, nous croiserons certainement à plusieurs reprises la bande à Win Butler dans les festivals européens.

    Bises
    Roms

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  • Comme promis hier, sur le billet de remerciements pour les fidèles, je vous ait parlé d'un petit frenchie qui trace bien sa route.
    Il se nomme "Mika". Un nom très simple mais ce n'est pas le cas de sa musique.
    Véritable phénomène de la pop orchestrale -The Divine Comedy, Queen, My Chemical Romance-, Mika est aussi auteur, compositeur et performeur.
    Car sa notoriété, il l'a forgé dès l'âge de 11 ans en réalisant ses premièrs concerts à Londres.
    Enfant démménagé de Beyrouth à Paris puis à Londres, Mika s'enferme et s'exclut de la société pour se réfugier dans un univers bien particulier. C'est là qu'il commence à composer ses premières chansons. De petis boulots en petits boulots, Mika fait aussi la tournée des maisons de disques en présentant ses travaux farfelus aux divers majors. L'intérêt de ses derniers ne se fiat pas attendre, Mika est signé chez "Barclay" -filiale d'Universal- grâce à son titre "Grace Kelly".
    Enregistrement fait dans les studios de Miami avec l'ingé son des "Bee-Gees", Mika est aujourd'hui prêt pour sa tournée mondiale -Londres, New-York, Berlin et Paris-.

    Bises
    Roms

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  • Nouvelle nouveautés de grande bretagne découverte en me promenant sur le site du NME, revue qui a fait naître de nombreuses artistes depuis bientôt 30 ans.
    Cette nouveauté anglaise s'appele Keith. Plutôt talentueux, ces quatre jeunes garçons peinent toutefois à se démarquer des autres tant la concurrence sur ce register est dense. "Kaiser Chiefs", "Artic Monkeys", "The View", "The Kalxons", "Kasabian" et autres "El Presidente". Il faut dire que les Anglos-Saxons ont un tel vivier de création qu'ils finissent par se canibaliser entre eux.
    Revenons à notre quatuor de Manchester. Grâce à une presse locale archi conquise, les Keith sont assez difficile à placer dans leur style musical. Savant mélange de Dub, de Folk et d'Indie, les Keith possèdent aussi un très bon sens de la rythmique et du chant par leur leader Mark Nicholls.
    Leur dernier single s'intitule "Hold That Gun" et leur album s'appele "Red Heat", le suivant est en préparation.
    Vous aurez bientôt la possibilté de l'écouer, c'est promis.
    Bises
    Roms


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  • C'est au rayon Pop electro que je vous fait découvrir ce duo français One-Two, originaire de Paris.
    Vous les avez déjà entendu à de nombreuses reprises puisqu'ils ont signé le spot du "Futuroscope" et celui de "Nouvelles Frontières".
    Il faut bien le reconnaître, ces deux-là ne rentrent dans une catégorie musicale en France, c'est pour cela qu'ils sont allés cherché les clés de leurs succès en Grande Bretagne (tiens donc!!) pour ensuite re-venir chez eux estampillés "testés et approuvés par les britishs".
    Leur pop electro électrisante est savamment dotée de sonorités sixties. Derrière leurs mélodies un peu guillerette et infantine -on les retient rapidement- se cache des airs de blues, de swing, de jazz et de pop biensûr. Côté influences, c'est David Bowie qui nous vient en tête rapidement -pour la simplicité-, mais aussi les Beatles, les Kinks, LCD Soundsytem mais aussi The Hives est bien d'autres encore.
    Ces petits ont du talent, il ne faut pas s'y tromper.

    Bises
    Roms


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